La visite du président de la République dans le bassin de l’Uele ne cesse de susciter des réactions. Après le Haut-Uele, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo est attendu dans la province voisine et soeur du Bas-Uele. C’est du Bas-Uele profond justement plus précisément dans le territoire de Poko que vient ce massage deux jeunes leaders du coin parvenu ce samedi 30 novembre 2024 à la rédaction de depechesdelatshopo.com.
Il s’agit de Olivier SEKILE MEMEYO, cadre de l’UDPS et autorité morale de la Fondation Olivier SEKILE MEMEYO ( FOSEM)asbl ayant son siège social à Poko et Pascal MBOLIFUKO LISSOUBA ; un autre Jeune leader du Territoire de Poko. Ils souhaitent la bienvenue à Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, Président de la République dans le Bas-Uele. Pour ces jeunes, cette deuxième arrivée du chef de l’État dans cette province dite »oubliée » est une fierté et un signal fort aux yeux du monde. Cette présence prouve que le Bas-uele fait sans doute partie du territoire national de la RDC et figure dans l’agenda du garant de la nation. c’est aussi un motif de soulagement pour la population de ce coin, une fierté pour elle d’être visitée et écoutée par le Président de la République, C’est une opportunité pour la jeunesse de la dite province qui préssent désormais sa participation dans la gestion de »Res Publica »; inévitablement un
soulagement pour les »Wazalendumo » de l’Udps/ fédération du Bas-uele de croiser en face leur camarade, combattant, et autorité morale afin d’échanger sur un certain nombre des points pouvant améliorer le bien-être de toutes les couches sociales conformément à la vision »Le Peuple d’abord ».
Concernant le débat autour de la révision ou changement de la constitution, Olivier SEKILE MEMEYO et Pascal MBOLIFUKO jeunes leaders se rangent dans le camp des compatriotes qui soutiennent la démarche du Président pour se débarrasser de cette constitution imposée aux congolais.
Enfin, Ces jeunes leaders appellent les autorités politico-administratives de la province du Bas-uele à saisir cette opportunité pour discuter avec le garant de la nation sur les points pouvant développer la province, mais aussi et surtout l’intérêt général de la province.
RÉDACTION