A travers une tribune parvenue à depechesdelatshopo.com, Modeste MODIKILO BEZELE, patriote congolais et actuellement Directeur Général de la Régie Forestière de la Province du Bas-uele, remercie et félicite très chaleureusement Le Président de la République Démocratique du Congo, Chef de l’État, pour avoir sagement porté pour la toute première fois de l’histoire, son courageux choix sur une femme afin de diriger le gouvernement national.
Par la même occasion, il félicite sincèrement Madame La Première Ministre et Chef du Gouvernement, pour sa désignation, et prie l’Éternel Dieu Tout Puissant, Maître des temps et des circonstances, de Qui vient toute élévation, de se servir d’elle comme instrument stratégique pour donner des vraies et réelles réponses aux problèmes majeurs du pays et aux maux qui les gangrènent.
Modeste Modikilo souligne que c’est la création qui fait avancer, et qui dit création, dit innovation. Dans toute bonne gouvernance, l’innovation est toujours une des portes pour accéder au progrès, au succès et au développement.
C’est pourquoi, en tant que Citoyen et électeur appelé à participer à la gestion du pays dans le cadre de ses droits civiques, et au delà des acrobaties politiques normales auxquelles la Cheffe de l’exécutif national s’est livré pour mener à la mise sur pied du prochain gouvernement, il l’exhorte et lui propose très respectueusement ce qui suit :
1. Qu’elle puisse nommer dans son cabinet deux conseillers spéciaux comme ses yeux et oreilles, à travers tout le pays, afin de récolter des informations relatives aux actions du gouvernement, les vérifier, les monitorer, afin de la mettre, en temps réel au parfum de tout ce qui se passe réellement dans les Territoires et autres coins reculés du pays, très souvent coupés de Kinshasa.
2. Que ces Conseillers aient comme mode de fonctionnement, l’itinérance permanente à travers les 145 territoires et leurs chefferies et secteurs.
3. Qu’ils travaillent avec les administrateurs des territoires et les ETD.
Ceci, afin de limiter les abus très souvent orchestres dans ces milieux et qui finissent par peser sur le bilan du chef du gouvernement, conclut Modeste Modikilo .
Rédaction